🪶 À dos de faucon, entre émerveillement et frustration
17 mai 2025
Cette fois, je vous embarque dans un nouveau format de vidéo : plus posé, scénarisé, avec voix off et montage hors live. Une parenthèse plus calme, où je prends le temps de vous livrer mon ressenti sans le flot du direct. Et pour ouvrir ce bal, quoi de mieux qu’un jeu contemplatif, singulier, et profondément aérien : The Falconeer.
Développé en solo par Tomas Sala et nommé aux BAFTA, ce jeu nous propulse dans l’Ursee, un monde océanique aussi fascinant qu’étrange. Ici, pas d’avions ou de vaisseaux : on vole sur le dos de faucons de guerre majestueux. Et dès les premières secondes de jeu, la magie opère… ou presque.
Une immersion visuelle et sonore envoûtante
Ce qui frappe d’entrée, c’est la direction artistique. Les couleurs vibrent puis les nuages dansent, et enfin la bande-son nous porte littéralement dans les airs. C’est donc le genre de jeu qui te donne envie de baisser les bras… juste pour planer.
Mais très vite, la prise en main fait redescendre sur terre (sans mauvais jeu de mot). Le faucon n’est pas une machine, et ça se ressent. Il faut donc évidemment apprendre à le maîtriser, à comprendre ses courbes, ses élans. Et clairement, le jeu est taillé pour la manette ou le joystick.
Un univers riche… mais qui peine à se renouveler
L’Ursee est un monde brisé, avec ses factions rivales, ses conflits politiques et ses secrets engloutis. The Falconeer ne se contente pas d’être un simulateur de vol fantaisiste : il pose un univers. Et j’ai adoré m’y perdre… pendant un temps.
Car au fil des heures, une forme de répétitivité s’installe. Les paysages se ressemblent, les missions s’enchaînent mais se répètent. On finit par tourner en rond, littéralement. Dommage, car le potentiel était immense.
Des combats grisants mais limités
Les affrontements aériens sont visuellement bluffants. Explosions, manœuvres, virages serrés dans les nuages… On y est. Mais côté gameplay, le manque de variété dans les armes ou les objectifs finit par peser. Certains combats sont grisants, d’autres frustrants.
Et pourtant, difficile de décrocher totalement. Il y a ce souffle artistique, cette poésie du vide, qui continue de hanter les sessions de jeu.
🎯 Verdict ?
The Falconeer est donc de toute évidence une expérience à part. Une œuvre sincère, imparfaite mais audacieuse. Un jeu qui ne plaira pas à tout le monde, mais qui mérite d’être découvert, surtout si vous aimez les jeux contemplatifs, les envolées sonores, et les univers atypiques.
👉 Si vous voulez en voir plus, ma vidéo complète est disponible ici :
🎥 Voir la vidéo sur YouTube
Et vous, seriez-vous prĂŞts Ă prendre votre envol ?
Je vous attends dans les commentaires, et comme toujours…
On se retrouve sur l’EternoStation.
https://eternos974.live